L'histoire (d'après l'éditeur) :
Il y a vraiment des gens qui ont la tête de l’emploi et qui constituent d’emblée le portrait-robot du coupable idéal. C’est le cas d’Olive Martin, accusée d’avoir assassiné sa mère et sa soeur avant de les débiter en morceaux. Olive est plus large que haute, un mètre cinquante-cinq pour cent vingt kilos et, à son aspect physique monstrueux, elle joint un fichu caractère, puisqu’ayant plaidé coupable à son procès elle n’a même pas daigné ouvrir la bouche pour se défendre. Fascinée par cette histoire, Rosalind Leigh entreprend d’écrire un livre sur Olive persuadée que celle-ci n’est pas coupable et cherche à protéger quelqu’un.
Mes impressions de lecture :
J'ai dévoré ce roman!
J'avais beaucoup aimé "la muselière" du même auteur et j'attendais une intrigue psychologique, des indices épars que l'enquêteur saurait glaner au cours de sa route.
Franchement pas déçue.
Des personnages comme je les aime, en demi-teinte, un peu cabossés, vrais.
Un enquête agrable à suivre sans pour autant pousser à l'addiction.
Au fil de son enquête, Roz découvre des invraisemblances das les témoignages qui ont servi à faire inculper
Olive. par la même occasion elle nous fait découvrir une galerie de personnages savouteux, bien dessinés uiq sont une vraie peinture sociale de l'Angleterre (en tous cas j'imagin et
espère).
Une fin... que je vous laisse découvrir. J'ai très envie d'en parler car elle m'a troublée mais le suspense
n'aurait pas son compte.
Vous trouverez ici ce qu'en a pensé Virginie;