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23 septembre 2012 7 23 /09 /septembre /2012 16:43
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L'histoire:

Il est l’un des esprits les plus brillants de sa génération. En quelques années, Cédric Villani est devenu l’un des héros de l’histoire des mathématiques. Unanimement salué comme un génie par ses pairs, coqueluche des médias demandé dans le monde entier, « le Marsu », comme on le surnommait à l’Ecole normale, est aussi l’une des figures les plus attachantes et atypiques de cet univers mystérieux et qu’on croit trop souvent, à tort, inaccessible au profane.
Théorème vivant est le récit passionnant d’une traque : celle d’une énigme mathématique que Cédric Villani a, durant de longues années, cherché à résoudre, là où tous les autres avant lui avaient échoué. Et nous voici emportés, aux côtés de ce Sherlock Holmes des maths, dans les pérégrinations picaresques qui font le quotidien d’un jeune chercheur scientifique surdoué : c’est un véritable « road-trip », de Tokyo à New York et de Berkeley à Hyderabad, dont Villani tient le carnet de bord au jour le jour. Entre deux emails fiévreux à son fidèle collaborateur, quelques refrains de chansons fredonnés au fil des équations, et les histoires merveilleuses que ce jeune père de famille invente et raconte à ses enfants, qu’il embarque toujours avec lui d’un bout à l’autre du monde, on suit la lente élaboration du théorème révolutionnaire qui lui vaudra la gloire.

 

Mes impressions de lecture:

 

Ce que vous ne trouverez pas dans ce livre:

- Une histoire ... Non. Franchement, l'histoire pourrait être condensée sur trois lignes. Il ne se passe rien du tout

- Des descriptions qui vous font vibrer ... C'est quand même un peu froid tout ça.

- Un beau texte ... C'est pas très bien écrit. Enfin ... peut-être les parties en anglais.

 

 

Alors pourquoi le lire?

Parce que Cédric Villani.

Même s'il écrit comme un pied et n'a pas grand chose à raconter, il possède ce petit supplément d'âme qui fait les génies, ceux qui nous donnent envie de nous lever le matin, qui nous font dire, que, non, l'espèce humaine n'est pas toute pourrie.

Parce qu'il a la naïveté de croire qu'on comprend ce qu'il raconte. Je ne suis pas une bûche en maths, je comprends les symboles et deux ou trois trucs mais là, ça m'a semblé un peu complexe.

Parce que, pour une fois, on sort de la vulgarisation et des maths d'il y a 200 ans (c'est tout ce qu'on peut comprendre, nous) pour découvrir les maths actuelles, des maths vivantes et vibrantes.

Parce qu'on découvre cet univers avec les yeux d'un homme sans cesse émerveillé. On sent sa passion, son respect pour ses confrères. ça fait chaud au coeur, ça donne la pêche, même si on ne maîtrise pas trop l'importance de l'amortissement de Landau

 

ET si vous n'avez pas encore été convaincu ....

 

 


 


L'homme qui me fixe est bien plus qu'un homme, c'est une légende vivante, et ce jour-là je n'ai pas le courage d'aller lui parler.
La prochaine fois, j'oserai l'approcher et je lui raconterai comment j'ai fait un exposé sur le paradoxe de Scheffer-Shnirelman, par une preuve inspirée de son théorème de plongement non lisse. Je lui parlerai de mon projet de faire un exposé sur lui à la Bibliothèque nationale de France. Je lui dirai peut-être même qu'il est mon héros. Est-ce qu'il trouvera ça ridicule ?

 

- Vous travaillez sur quoi

- Hmmmm, vous voulez vraiment savoir?

- Oui, pourquoi pas?

- Allez, on ne se moque pas.

Une respiration.

- J'ai développé une notion synthétique de courbure de Ricci minorée dans les espaces métriques mesurés complets et localement compacts.

 

 

-J'ai bien étudié le Alinhac-Gérard, et il y a un gros souci dans les estimations: il faudrait un peu de marge de régularité pour avoir la convergence vers zéro du terme de régularisation, et en prime la régularisation pourrait tuer la convergence bi-exponentielle du schéma.

- Moui, j'avais pas fait attention à ça. Tu es sûr qu'on perd le taux de convergence de Newton? Bon, on va bien trouver.

- Et les constantes de régularisation dans l'analytique sont monstrueuses !

 

 


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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 15:41
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L'histoire:

Sa femme l'a mis dehors, son CDD n'est pas prolongé. Philippe est happé dans la spirale infernale et passe de l'autre côté de la barrière sociale : SDF, confronté à la dure loi de la rue, faite de solitude, de honte et de violence. Jusqu'au jour où il rencontre Baudelaire. Grâce à cet inénarrable compagnon d'infortune, et avec l'aide d'un vendeur de kebab, d'une riche veuve et d'une dame pipi, il réussit à remonter la pente. Et à retourner à une vie normale.

 

Mes impressions de lecture:

Je n'avais pas envie de lire ce livre. Mais alors pas du tout. Je l'ai dans ma PAL depuis un moment. Je n'avais pas très envie de lire, j'étais fatiguée, je voulais quelque chose que je n'aurai pas envie de dévorer.

Fatale erreur de l'avoir choisi!

Ce livre est une merveille !

Harold décrit cette vie sans faire semblant, sans passer à côté de l'immonde,  de la déchéance, de la perte d'identité et de respect de soi qui guettent son héros. Mais sans tomber dans le misérabilisme, dans le vindicatif.

Le respect. Oui je crois que c'est le mot juste pour parler de ce roman. IL préserve le respect, à tous les sens du terme.

 

J'ai pleuré. Parce que c'était beau, et triste, et injuste.

Et là, encore, en y repensant, les larmes me montent aux yeux et je sens encore la brûlure de l'énorme claque au coeur que je viens de recevoir.

 

A rapprocher sans complexe de "No et moi" de Delphine de Vigan.

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 15:15

L'histoire:

An de grâce 1556: François, étudiant en médecine à Montpellier, n'a qu'une idée en tête: devenir cuisinier. Aux dissections, il préfère l'étude du safran, de la cardamome, du gingembre, du macis et autre maniguette sous la houlette de l'apothicaire Laurent Catalan. Mais une série de morts suspectes sème le trouble dans la ville. Un mystérieux breuvage distribué par un apothicaire ambulant en est la cause. Laurent Catalan, en raison de ses origines juives et de ses sympathies pour les protestants est accusé de complicité et jeté en prison François mène l'enquête jusqu'à Bologne. Parviendra-t-il à sauver Catalan?

 

Mes impressions de lecture:

Quand j'ai rencontré Michèle Barrière je lui ai demandé dans quel genre elle écrivait. Elle m'a dit qu'elle mélangeait histoire - policier et gastronomie .... Eh bien, roule ma poule !

Pour être honnête, l'intrigue policière sous-tend l'histoire mais ne vaut pas le détour. L'histoire et la gastronomie, en revanche ... elle ne se moque pas de ses lecteurs. Ce roman est une promenade culinaire à la renaissance. La médecine est également énormément évoquée, les sciences, l'astronomie, la place qu'ont du se faire les apothicaires. Tout est parfaitement documenté sans être pesant. C'est un vrai bonheur à lire et, cerise sur le gâteau, il y a un livre de recettes de la renaissance à la fin. Hâte de les essayer !

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21 août 2012 2 21 /08 /août /2012 15:03
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L'histoire:

« Trempée jusqu’aux os et totalement nue, elle est apparue sur ma terrasse au beau milieu d’une nuit d’orage.
— D’où sortez-vous ?
— Je suis tombée.
— Tombée d’où ?
— Tombée de votre livre. Tombée de votre histoire, quoi ! »

Tom Boyd, un écrivain célèbre en panne d¹inspiration, voit surgir dans sa vie l’héroïne de ses romans.
Elle est jolie, elle est désespérée, elle va mourir s’il s’arrête d’écrire.
Impossible ? Et pourtant…
Ensemble, Tom et Billie vont vivre une aventure extraordinaire où la réalité et la fiction s’entremêlent et se bousculent dans un jeu séduisant et mortel...

 

Mes impressions de lecture:

Ouais, je sais, honte sur moi, j'ai lu un Musso. Et le plus humiliant c'est que Clémentine en a lu quelques pages et trouvé ça vraiment trop niais ... Première excuse : je ne l'ai pas acheté, je l'ai trouvé dans un sac de livres qu'on m'a rendus (mais je ne sais pas qui o_O)

Deuxième excuse : avec 38°C à l'ombre, les neurones sont ramollos ...

 

Certes c'est un Musso : cousu de fil mièvre et attendu d'une page à l'autre. On aurait pu tirer des trucs sympas sur le sujet (il n'a visiblement pas lu les Thursday Next sinon il aurait rouge de honte d'avoir commis ça) mais là c'est pas le cas: ça dégouline d'eau de rose d'un bout à l'autre. Un seul avantage : le titre est suffisamment évocateur pour que, pour une fois, je me souvienne que je l'ao déjà lu.

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 17:41
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L'histoire:

Emma. Un pélican à la con. Une station balnéaire aux Etats-Unis. Un Allemand qui tourne. Une tribu de hippies crados. Le moral dans les bottes. Une dune qui chante. Cassavetes, Kurosawa et Huey Lewis. Un pressing. Un verre de trop. Une équipe TV. Puis une autre. Richard. Love in Vain. Un requin et un marteau. Un coup de feu. Du sang sur le sable. Une Chevrolet Impala. Le bruit des vagues. L'amour à trois. L'amour tout seul. Une lettre d'amour. La vie qui continue. En moins bien.

 

Mes impresssions de lecture:

Le résumé est de Arnaud le Guilcher. Forcément.

C'est lui qui m'a fait l'article pour son roman. Ses romans préférés je les ai adorés. Son écriture, nerveuse, fluide, c'est tout ce que j'aime. Il m'a fait une dédicace adorable. J'avais hâte de découvrir ce que l'homme avait produit.

 

Déconcertant, foutraque, délirant.

Touchant

On ne peut lire que ça mais de temps en temps ça fait du bien.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 10:45

L'histoire:

"Je ne suis pas libre, j'ai un mari, quatre enfants, deux chattes, des parents, des beaux-parents, des maisons à tenir. Tous ont besoin, comprends-tu? Je leur appartiens. Je ne me suis jamais appartenue! Toute ma vie, j'ai été le bien des autres, la chose des autres, par droit naturel ou par contrat!"

Ainsi allait la vie d'Aline, nourrie de romans d'amour et d'illusions.
Jusqu'à l'inespérée et providentielle rencontre qui lui fait battre le coeur, enfin. Une passion véritable, sincère, inattendue. Et, au risque de tout perdre - mari, enfants, réputation -, Aline renaît.

 

Mes impressions de lecture:

Je n'ai pas eu envie de le terminer. C'est très rare parce qu'il facile et plaisant à lire. Il a fallu que je fasse cet article, que je réfléchisse à ce qui m'avait poussée à le refermer pour en trouver la raison.

Honnêtement il est agréable à lire. Très bien écrit, plein de d'humour, caustique par moments.

Mais je me retrouve dans cette femme. Je me retrouve comme j'étais il y a un an. Je retrouve cette sensation d'avoir perdu prise sur sa vie, d'être menée par les désirs et les volontés des autres.

Aline "renaît" dans les yeux, par l'amour d'un autre homme.

NON!! Définitivement non!

Une fois de plus elle existe par les yeux, le regard de quelqu'un d'autre! Elle est une fois de plus "l'objet" de quelqu'un d'autre. C'est elle qui doit changer, c'est le regard qu'elle se porte sur elle-même qui doit changer.

Nous sommes les seuls geôliers de notre prison et quitter son mari n'est qu'une solution provisoire, superficielle.

C'est la solution "conversations de comptoir du café du commerce". C'est creux, vain, illusoire.

C'est du roman à l'eau à de rose bien écrit mais pas plus réaliste que du Harlequin.

C'est ça qui m'a agacée.

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 09:32

L'histoire:

  En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Esclarmonde refuse de dire «oui» : elle veut faire respecter son voeu de s'offrir à Dieu, contre la décision de son père, le châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entré avec elle dans sa tombe... Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Esclarmonde se retrouve au carrefour des vivants et des morts. Depuis son réduit, elle soufflera sa volonté sur le fief de son père et ce souffle l'entraînera jusqu'en Terre sainte. Carole Martinez donne ici libre cours à la puissance poétique de son imagination et nous fait vivre une expérience à la fois mystique et charnelle, à la lisière du songe. Elle nous emporte dans son univers si singulier, rêveur et cruel, plein d'une sensualité prenante

 

Mes impressions de lecture:

Carole martinez est une fée !! Son coeur cousu m'avait enchantée au sens propre du terme et ce livre-ci m'a ravie le coeur et l'âme.

Avec ses mots elle ne se contente pas de tisser de magnifiques histoires, elle nous donne également la sensation de faire ressurgir des histoires du passé, des histoires du patrimoine qui existaient dans un coin de notre tête et que nous avions oubliées. Je sais bien qu'Esclarmonde a été inventée et que je n'en avais jamais entendu parler avant. Mais une petite partie de mon cerveau n'est est pas certaine ...

 

Les mots qu'utilise Carole Martinez ont plus de sens, sont plus riches, ont un plus grand pouvoir d'évocation que les autres auteurs. Elle nous offre du rêve, du voyage, des émotions.C'est magnifique, à lire impérativement !!

 

Carole Martinez est une conteuse. Une vraie, comme on n'en a plus eu depuis les frères Grimm.

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 11:56

L'histoire:

Une jeune femme moderne « kidnappe » sa grand-mère pour lui éviter la maison de retraite. Frédérique Deghelt livre un intimiste récit à deux voix. A travers le charme délicat de l’aveu, d’une écriture légère, elle procure à ses personnages la force et l’audace de réinventer leur vie.
Pour éviter à sa grand-mère – Mamoune au parfum de violette et de fleur d’oranger – un placement en maison de repos, Jade « l’enlève » et l’installe dans son appartement parisien.
L’octogénaire savoyarde et la jeune femme célibataire, journaliste indépendante, vont tisser avec douceur et simplicité une vie commune nourrie de leurs souvenirs. Mais, derrière les choses ténues du quotidien, c’est l’émouvante tragédie de la vie qui se déroule. Celle-ci se dévoile dans les récits croisés des deux femmes, l’une, écrivain en devenir, l’autre, lectrice passionnée qui a secrètement fait de ses montagnes savoyardes son cabinet de lecture. Se construit alors un échange littéraire au cours duquel elles se livrent et se découvrent. Jade, qui concevait sa vie sans ancrages ni repères, apprend de sa grand-mère que c’est dans la confiance et l’acceptation de l’autre, et seulement là, que l’on a des chances d’être soi. Grâce à Mamoune, touchante dans sa dignité chancelante, l’appartement de Jade devient le lieu de tous les possibles.
Habilement, de sa prose douce et bienveillante, Frédérique Deghelt nous raconte la libération d’une jeune femme perdue dans l’agitation de sa vie. Et livre le portrait étonnant et tendre d’une grand-mère en qui éclot un sentiment amoureux imprévisible.

 

Mes impressions de lecture:

Il aurait du me plaire. Mais non...

Je n'ai pas aimé le style : beaucoup de redondances, de longueurs, de répétitions, de clichés, de lieux communs. Même si les personnages s'expriment et se confient intimement j'ai une impression de superficialité, de banalité. C'est étonnant car le sujet est original. Mais ça manquait tellement de rythme, de verve et d'énergie. Le passage d'un personnage à l'autre était à peine perceptible dans l'écriture et quand ça l'était c'était maladroit.

la fin rattrape un peu. Mais c'est pareil, ça reste superficiel.

Je crois que ce qui m'a le plus manqué c'est l'émotion. Moi qui pleure devant FBI portés disparus" je n'ai pas eu la moindre ombre d'émotion avec ce roman, les personnages n'ont pas pris corps.

C'est dommage mais merci quand même Virginie :))

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 21:46

L'histoire:

« On peut considérer que ce fut grâce à son mari que madame Izarra rencontra le lieutenant Taïbo ». Car c’est lui, Gustavo Izzara, qui, revenant de vacances un soir d’octobre 1997, appelle la police pour qu’elle vienne constater que sa somptueuse villa de Villanueva avait été cambriolée. Un vol pour le moins étrange puisqu’aucun objet n’a été dérobé et que les intrus, apparemment familiers des lieux, se sont contentés d’habiter la maison en l’absence du couple. Vida Izzara va peu à peu sortir de son silence et dévoiler au lieutenant Taïbo la vérité : Paloma, sa fille unique de 18 ans, s’est évaporée du jour au lendemain avec Adolfo, un mystérieux (dangereux?) jardinier, et elle la soupçonne d’être revenue, par effronterie, insolence, nostalgie ? hanter la demeure familiale. Les vies d’oiseaux, ce sont celles que mènent ces quatre personnages dont les trajets se croisent sans cesse. Chacun à sa manière, par la grâce d’un nouvel amour, est conduit à se défaire de ses anciens liens, conjugaux, familiaux, sociaux, pour éprouver sa liberté d’exister. Sans plus se soucier d’où il vient ni de là où la vie le mène.

 

Mes impressions de lecture:

Une très belle lecture: limpide, légère, fluide, insaisissable. Le titre lui convient très bien.

Est-ce que j'ai aimé? Il n'y a rien de ce qui crée mes coups de coeur : je n'ai rien appris, je n'ai pas été émue, je n'ai pas été surprise. Pourtant ce roman j'ai eu du mal à le lâcher chaque soir. Une pincée de légèreté, d'évasion. Un zest d'incongruité. C'est irréel tout en semblant bien réel. C'est attachant.

Tout compte fait un rooman peut apporter encore autre chose : l'évasion.

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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 11:27

L'histoire:

Pour guérir d'une rupture sentimentale, un homme se réfugie à Ostende, ville endormie face à la mer du Nord. Sa logeuse, la solitaire Anna Van A., va le surprendre en lui racontant l'étrange histoire de sa vie, où se conjuguent l'amour le plus passionné et un érotisme baroque. Superbe mystificatrice ou femme unique ? Cinq histoires où Eric-Emmanuel Schmitt montre le pouvoir de l'imagination dans nos existences. Cinq histoires - La rêveuse d'Ostende, Crime parfait, La guérison, Les mauvaises lectures, La femme au bouquet - suggérant que le rêve est la véritable trame qui constitue l'étoffe de nos jours.

 

Mes impressions de lecture:

Je lis Eric-Emmanuel Schmitt au compte-gouttes tellement j'éprouve de plaisir à le lire. Pourquoi tant de plaisir? C'est simple à lire, bien écrit, doux, délicat, parfois drôle, parfois mordant. C'est la vie vue à travers des lunettes qui la déforment en mieux, en plus drôle, plus romantique, plus romanesque. Et surtout on sent un optimisme, un amour de la vie qui transpercent chaque page de chaque histoire.

Tout ce que j'aime.

 

Toutes ces nouvelles tournent autour du même thème : le pouvoir de l'imagination... ou pas... Chacun est surprenante, nous fait douter, nous surprend. Ma préférée? Difficile à dire. Peut-être "la rêveuse d'Ostende" ou "la femme au bouquet" qui sont les deux opposées.


"Je me doute que je ne lis pas un immense chef-d'oeuvre, mais en revanche, je passe un moment formidable". Eric-Emmanuel Schmitt le dit lui même...

 

Je suis fan :))

 

http://www.babelio.com/users/AVT_Eric-Emmanuel-Schmitt_8467.jpeg

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Je Suis...

  • : Les lectures d'heureuse
  • : "Lire est le seul moyen de vivre plusieurs fois" Pierre Dumayet
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Cher égaré du net,


Je ne sais quel hasard vous a amené vers ces pages mais je préfère être honnête avec vous. Vous ne trouverez ici:

                                  - Ni analyse littéraire aussi intelligente que complexe,

                - ni étude approfondie de chaque ouvrage.


 

Qu'ai-je donc à vous proposer?     


Partager mes coups de coeur coeur-73.gif, mes coups de gueule, mes "bof...".


 Echanger sur ces mêmes coups de coeur, coups de gueule, coups de "bof...", parce que, tous ces livres, qu'on les ait aimés ou pas ont été écrits par un auteur qui a mis son coeur et méritent, pour la plupart qu'on les fasse vivre le plus possible.

marguerite.jpg


           Essayer de retranscrire ce petit instant inimitable qu'on vit quand on lit le dernier mot de la dernière phrase de la dernière page d'un livre.


Cet instant de tristesse, de vide incommensurable  à l'idée de quitter un univers qu'on avait plaisir à retrouver jour après jourhp7.gif. Cette déception terrible quand on se retrouve face à une chute bien plate9782221113073.gif ou au contraire cette explosion d'émotions qu'un immense talent nous procure en quelques mots 9782253115540 .

Ou le soulagement que le pensum arrive enfin à son terme9782266164573.

 

 

 

Ce blog est ma mémoire, ma petite bibliothèque intérieure.

 


 

Je vous en prie, choisissez un livre et asseyez-vous pour le feuilleter tranquillement.


fauteuil2.jpg

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