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21 janvier 2011 5 21 /01 /janvier /2011 13:26
Critiques et infos sur Babelio.com

 

Résumé de l'éditeur:

Bande dessinée.
Une jeune femme part en voyage dans l’espoir d’oublier celui qu’elle aime et qui l’a quittée. Une autre se demande en quels apprêts elle attendra son amoureux, le soir venu. Une troisième tente de convaincre une de ses semblables des charmes de l’amour saphique, une quatrième promet à son amant qui la délaisse que désormais elle saura… s’aimer !

 

Mes impressions de les lecture:

Le premier mot qui vient à l'esprit est "déconcertant". Je m'attendais à des nouvelles érotiques et je me suis retrouvée face à un bande-dessinée essentiellement en noir et blanc.

J'ai été surprise car autant je trouve que le pouvoir d'évocation de la littérature érotique est immense, autant j'ai été surprise par le peu d'emprise que ce livre prend sur les sens. Ce sont finalement des images très froides, assez loin de toute émotion alors que le texte évoque des émotions très fortes.

Ce qui vient à me faire penser que ce petit livre est bien plus conçu pour nous amener à réfléchir. En tous cas c'est ce qui s'est passé pour moi.

Entre autres à cette question qu'on s'est sans doute tous posée : quelle est la place de la sexualité dans une histoire d'amour? Est-ce que la différence entre l'amitié et l'amour c'est l'absence de relations intimes? Je trouve ça très réducteur et c'est pourtant ce que semble suggérer "propos dépareillés".

 

Ces nouvelles présentent un petit tour d'horizons de relations amoureuses. Visions intimes mais superficielles, comme peut l'être le sexe finalement. La seule qui m'ait dérangée est la première: cette femme qui se soumet à un homme qu'elle veut quitter parce qu'il la fait souffrir m'a gênée car le rapport de domination (ses sens sur ses sentiments) m'énerve. Elle subit et ça m'agace de retrouver cette image de femme soumise.

 

Merci aux éditions "La boîte à bulles" et à Babélio pour cette étonnante découverte.

 

Post scriptum : ça fait une dizaine de jours que j'ai ce livre et je prends énormément de plaisir à le feuilleter, relire une nouvelle, m'attarder sur une image, une expression. Curieusement bien plus qu'à la première lecture...

 


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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 17:57

 

L'histoire:

Ce témoignage est un voyage aux côtés d'un jeune homme aux capacités hors du commun. Comme le héros de Rain Man, Daniel Tammet est un autiste savant, un génie des nombres. Son cerveau lui permet d'effectuer des calculs mentaux faramineux en quelques secondes. Pour lui, les nombres sont des formes et des couleurs.
Il a ainsi mémorisé les 22 514 premières décimales du nombre pi, un exploit qui a nécessité plus de cinq heures d'énumération en public. Daniel est également un linguiste de génie : il parle sept langues et a appris l'islandais en une semaine.
Bien qu'autiste, il n'est pas coupé du monde : il est capable d'avoir une vie sociale et de raconter ce qui se passe dans sa tête. Les plus éminents neuroscientifiques s'intéressent à son cas.

 

Mes impressions de lecture:

Après un démarrage vraiment intéressant, ce livre m'est tombé des mains.

Sa description de sa propre vision du monde est surprenante, incroyable et extrêmement clair. Mais j'ai trouvé le récit de sa vie un peu longuet, un peu trop détaillé. Certes, il s'agissait de son enfance et il voulait rendre hommage à ses parents mais c'était un peu trop détaillé et minutieux. Ma fille l'a également commencé; elle est allée plus loin que moi mais n'a pas non plus réussi à le terminer.

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 15:26

 

L'histoire:

Il était une fois Mortefond, charmant village de Lorraine qui s’apprête à fêter la Noël. le père Cornusse joue comme chaque année le rôle du Père Noël, tandis que Catherine, sa fille, rêve d’un prince charmant et que les hommes du village rêvent à elle. Prosper Lepicq, un étranger au village, se joint à la population locale pour la fête. Mais après la messe, on découvre le corps du Père Noël, assassiné ! Qui parmi ce panel de personnages truculents a bien pu commettre le meurtre, dans ce bourg isolé et apparemment paisible ?Voici, par les facétieux Adam et Convard, l’adaptation très libre d’un roman de Pierre Véry, datant de 1934 et adapté au cinéma en 1941 par Christian Jaque. Un album flirtant entre le merveilleux et le policier, magnifiquement dessiné par Paul, dont le graphisme original, poétique et pictural, ne cesse de s’affirmer.

Mes impressions de lecture:

Bof... IL aurait peut-être fallu que je lise le roman ou vois le film avant

Je ne suis pas très amatrice de BD mais je n'ai pas vraiment apprécié le graphisme, j'ai trouvé que beaucoup de choses tombaient comme un cheveu sur la soupe (du genre "je vous aime " "moi aussi je vous aime" et hop on a la love story de la fin).

Je l'ai lu jusqu'au bout mais je pense que j'aurais mieux goûté à la truculence des personnages avec un roman.

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 15:19

 

L'histoire:

La quarantaine resplendissante, Fleur Daxeny a une spécialité : séduire les riches veufs, vivre un moment à leurs crochets avant de disparaître en emportant leurs cartes de crédit et un maximum de cash. Sa technique ? Repérage des cibles potentielles dans la rubrique nécrologique du Times, première approche le jour même de l'enterrement de l'épouse, au moment où Monsieur est le plus vulnérable... Le charme et l'aplomb extraordinaires de la jeune femme font le reste. Quand Fleur jette son dévolu sur l'austère Richard Favour, elle ne doute pas d'arriver très vite à ses fins. Mais c'est compter sans l'encombrante famille de son promis... et un rival de poids dans la course aux millions ! Les arnaqueurs ne sont pas forcément ceux qu'on croit...
 


Mes impressions de lecture:

Madeleine Wickam, c'est Sophie Kinsella. En mois bien.

Moins fantaisiste, moins doux-amer.

Mais j'ai été agréablement surprise.

J'attendais un livre qui se veut amusant sans l'être et j'ai trouvé un roman qui se veut cynique et qui finit par être touchant. A l'image de fleur. Il n'y a ni grand sentiment ni grande littérature mais l'ensemble est équilibré et très plaisant à lire.


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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 15:09
Critiques et infos sur Babelio.com

 

L'histoire: (quatrième de couverture):

Justine a 40 ans, un mari britannique, Andrew, et deux enfants. Elle travaille en tant que traductrice free-lance et mène une petite vie tranquille. Mais un mercredi après-midi, tout va basculer. Son fils adolescent est renversé par un chauffard en plein Paris. L'inconnu prend la fuite, des témoins ont à peine le temps de noter quelques chiffres de la plaque d'immatriculation. Sérieusement blessé, Malcolm sombre dans le coma. L'enquête piétine.
Justine et Andrew, sous le choc, s'enlisent dans la rancœur, l'incompréhension. Leur couple se fragilise. Contre l'avis de son mari, de ses parents, Justine ne renonce pas à retrouver le responsable de l'accident. Qui était au volant de la Mercedes ancien modèle couleur ""Moka"" ? La seule personne qui soutiendra Justine, c'est sa belle-mère, la ""so British"" Arabella, personnage aussi fantasque que surprenant. L'enquête les mènera dans une ville balnéaire du sud de la France, au seuil d'une villa qui surplombe la plage de la Côte des Basques. Mais au bout de la route, à qui, à quoi Justine sera-t-elle confrontée ?

 

Mes impressions de lecture:

J'ai beaucoup moins aimé que "elle s'appelait Sarah" (évidemment) ou "boomerang". C'est touchant, plaisant à lire. Mais peut-être que le même ressort dramatique commence à me lasser : mêler grand chagrin à surmonter à une intrigue pseudo-policière.

Evidemment le talent de Tatiana de Rosnay reste le même : une belle écriture fluide qui donne chair à de vrais personnages. Mais j'ai vraiment eu la sensation de rester au bord de la route..

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 09:10

 

L'histoire:

Entre Bien et Mal, science et superstition, simulacres et vrais miracles, un roman fort et sombre dans un Moyen Age fascinant. Hiver 1288. Dans une paroisse isolée du Quercy, une troupe d’hommes en noir s’empare d’un enfant. Refusant d’admettre que le petit est perdu, le prêtre du village, le père Aba, se lance rageusement à la poursuite de ses ravisseurs. Au même moment, à Rome, l’éminent enquêteur Bénédict Gui accepte une nouvelle mission : retrouver un jeune homme employé par l’administration du pape. Lui aussi a disparu sans laisser de traces, emmené par des hommes en noir. Enfants enlevés, archives escamotées, cardinaux assassinés... Dans ce Moyen Age où le pouvoir de l’Église est plus fort que jamais, quelque chose se prépare. Le père Aba et Bénédict Gui, sans se connaître et au prix de leur vie peut-être, parviendront-ils à faire échouer les puissants qui ont sombré dans le cynisme et la démesure ?

 

Mes impressions de lecture:

Roman historique très documenté, "délivrez-nous du mal" est de la même eau que "pardonnez nos offenses", à savoir un complot de l'Eglise au moyen-âge.

Franchement agréable à lire, prenant. Mais je retrouve toujours le même défaut à tous les romans de Romain Sardou : la fin.

Celui-là est franchement meilleur que les autres de ce point de vue-là, il faut le reconnaître. Rien à voir avec les précédents que j'ai lus. Mais je trouve par exemple qu'il y a un goût d'inachevé pour Bénédict Gui. On découvre au début un personnage en quête de réponses car il n'a pas su répondre à la seule qui lui tenait à coeur. Un personnage bien construite te cohérent du coup et cet aspect-là est un peu oublié à la fin. On imagine qu'il retourne à ses activités mais qu'en est-il de "lui", de ses aspirations? J'aurais aimé que ce soit un peu plus creusé, rien qu'un peu.

ça nous ramène finalement au défaut de Romain Sardou: il ouvre plein de portes (et il faut lui reconnaître cette immensse qualité d'ailleurs) mais il en ouvre tant (et parfois involontairement peut-êtreà qu'il oublie parfois d'en fermer une ou deux...

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 10:29
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L'histoire (éditeur):

 Dans le Mexique du début du siècle, en pleine tempête révolutionnaire, Tita, éperdument éprise de Pedro, brave les interdits pour vivre une impossible passion. À cette intrigue empruntée à la littérature sentimentale, Laura Esquivel mêle des recettes de cuisine. Car Tita possède d'étranges talents culinaires : ses cailles aux pétales de roses ont un effet aphrodisiaque, ses gâteaux un pouvoir destructeur. L'amour de la vie est exalté dans ces pages d'un style joyeux et tendre, dont le réalisme magique renvoie aux grandes oeuvres de la littérature latino-américaine. Chocolat amer, adapté en film sous le titre Les épices de la passion, s'est vendu à plus de quatre millions d'exemplaires dans le monde.

 

Mes impressions de lecture:

Evidemment j'ai aimé ce roman sensuel, chaleureux où la magie se mêle aux traditions. Il m'a d'ailleurs fait penser à "la maison aux esprits", en moins bien quand même...

Evidemment j'ai trouvé cette héroïne incroyablement attachante..
Mais j'ai eu un petit goût de trop peu. J'aurais aimé un peu plus de magie, un peu plus de magie, un peu plus de péripéties... J'ai eu la sensation que tout était resté un peu contenu.

Peut-être parce que je n'ai pas du tout acroché avec le personnage de Pedro, un peu lâche à mon goût. Si j'avais été Tita je lui aurais préféré mille fois John, qui est le seul qui l'ait sauvée, protégée. Pedro ne fait que prendre et lui donne bien peu, fuit quand il faudrait se battre, n'accepte pas qu'elle soit heureuse avec un autre alors que John l'accepte.

 

Une lecture très agréable et surprenante quand même , mais une fin qui m'a un peu laissée sur ma faim (le vilain jeu de mots!).

 

Et Virginie en dit ceci.

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 10:11

 

L'histoire:

« J'ai décidé hier après-midi de tuer ma fille. À quatre-vingts ans, cela ne va pas être facile. D'autant que je me déplace en fauteuil roulant. »

Mais cette octogénaire hémiplégique est bien déterminée à parvenir à ses fins. Car entre mère et fille, la haine est réciproque et implacable. Ancienne pianiste, adulée par les hommes, despotique, Éléonore ne s'est jamais préoccupée de personne sauf d'elle-même. Terne et aigrie, sa fille Élisabeth attend de pied ferme l'héritage. Et soigne sa mère indigne de façon très personnelle…

 

Mes impressions de lecture:

S'il n'y avait pas le contexte, on se serait cru dans un roman anglais. Grinçant à souhait, féroce mais incroyablement drôle. Un humour noir qu'il faut apprécier bien sur...

Un auteur français se serait amusé à décortiquer les relations mère-fille, à les faire tomber dans les bras l'une de l'autre après une discussion à coeur ouvert. Ici on en est bienheureusement dispensé. Valérie Saubade nous délecte de la férocité de ses personnages, sous leur vernis si impeccable.

J'avoue que le côté grande bourgeoise de la mère m'a un peu agacée. Reprocher à son gendre de mettre du déodorant bon marché alors qu'il a peu de revenus ça me dérange et mépriser les femmes qui s'habillent en prêt-à-porter ne me la rend pas forcément proche... Contextualisons...

 

En résumé, une lecture très agfréable pour un très bon moment.

Pour lire ce qu'en dit Virginie c'est ici.

 

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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 16:33

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L'histoire:

Bastos, le chat philosophe et pédant, parvient à échapper au fusil de Raymond. N'empêche qu'il le nargue ce chat ! Et il faut encore s'occuper du môme, un peu nul en foot, qui n'a rien trouvé de mieux que de choper de l'eczéma sur le visage... Sans compter son imbécile de père qui se fait encastrer par un cerf de deux cents kilos. Il y a franchement de quoi devenir allumé dans cette famille !

 

Mes impression de lecture:

Pile ce que j'avais besoin de lire!

L'histoire est aussi incongrue et improbable qu'un épisode des feux de l'amour : la mère de la soeur du père qu'on croyait mort mais qui n'est pas morte et le sourd qui n'est pas sourd et le chat qui voudrait bien mais ... (rien à voir avec l'histoire mais je ne vais quand même vous déflorer le suspens). Un abattage incroyable, des personnages plus loufoques et attachants les uns que les autres.

L'écriture est vive, enjouée, franche et directe. Les mots sont vrais, sonnent juste.

 

J'ai passé quelques heures délicieuses avec ce roman que je recommande très chaudement à tous ceux qui aiment lire des choses qui sortent un peu des sentiers battus.

 

Si vous voulez lire l'avis de Virginie, que je remercie vivement pour cette découverte, c'est ici!

 

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 09:58

 

L'histoire:

En quittant la sphère 1, Linus croyait découvrir la vraie vie ; mais depuis qu'il a été relégué en sphère 2, il traverse un cauchemar. Enfermé dans un camp, il doit travailler tout le jour sur les chaînes d'une usine ; le soir, il est tellement fatigué qu'il n'a plus le goût de rêver. Que sont devenus ses amis, Chem et Yosh ? Et ses parents ? Cela fait des mois que Linus n'a aucune nouvelle ! Il doit absolument les retrouver, s'il veut avoir de nouveau la force d'espérer, et de se battre pour sa liberté!

 

Mes impressions de lecture:

J'ai trouvé ce second tome beaucoup plus ordinaire que le premier.

Je pense que la raison en est la principale critique de ce roman : il ne s'agit que d'une seul roman vendu en deux parties. Du coup le deuxième tome est "bof" car la relance de l'intrigue est cousue de fil blanc, pas franchement nouvelle et qu'il y a fort peu de nouveaux personnages. La fin est d'un prévisible... Les enfants ne sont pas des adultes décérébrés, ce sont juste  des enfants ....

ça se lit vite et bien (littérature jeunesse quand même) mais il y a mieux à lire...

 

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Je Suis...

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Cher égaré du net,


Je ne sais quel hasard vous a amené vers ces pages mais je préfère être honnête avec vous. Vous ne trouverez ici:

                                  - Ni analyse littéraire aussi intelligente que complexe,

                - ni étude approfondie de chaque ouvrage.


 

Qu'ai-je donc à vous proposer?     


Partager mes coups de coeur coeur-73.gif, mes coups de gueule, mes "bof...".


 Echanger sur ces mêmes coups de coeur, coups de gueule, coups de "bof...", parce que, tous ces livres, qu'on les ait aimés ou pas ont été écrits par un auteur qui a mis son coeur et méritent, pour la plupart qu'on les fasse vivre le plus possible.

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           Essayer de retranscrire ce petit instant inimitable qu'on vit quand on lit le dernier mot de la dernière phrase de la dernière page d'un livre.


Cet instant de tristesse, de vide incommensurable  à l'idée de quitter un univers qu'on avait plaisir à retrouver jour après jourhp7.gif. Cette déception terrible quand on se retrouve face à une chute bien plate9782221113073.gif ou au contraire cette explosion d'émotions qu'un immense talent nous procure en quelques mots 9782253115540 .

Ou le soulagement que le pensum arrive enfin à son terme9782266164573.

 

 

 

Ce blog est ma mémoire, ma petite bibliothèque intérieure.

 


 

Je vous en prie, choisissez un livre et asseyez-vous pour le feuilleter tranquillement.


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