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23 mars 2008 7 23 /03 /mars /2008 11:41
Genre : petite chose atanchante

En un mot: du bon temps

Difficulté de lecture :
lol


L'histoire (d'après l'éditeur):
Après une lune de miel à rallonge, Becky rentre à Londres et retrouve son train-train de citadine avec un goût amer : sa meilleure amie l'a remplacée par une fille se rapprochant plus du cheval que de l'idéal féminin, son jouet préféré - sa Carte Bleue - est bloqué, son mari est débordé.
Mais le meilleur reste à venir : ses parents lui apprennent qu'elle a une sœur née des amours prénuptiales de son père ! Un nouvel horizon se dessine pour Becky : vivement la folle aventure familiale faite de séances intensives de shopping et de soirées pyjamas. Car elle n'imagine pas seul un instant que Jess soit tout sauf son double... ,Loin de renoncer malgré leurs différences, Becky va prouver une fois de plus qu'elle a plus d'un tour dans ses sacs !

Mon avis:
Je suis accro de cette Becky Bloomwood !! Superficielle, dépensière, elle a un coeur d'or et une tête dans les nuages. Elle se met dans des situations incroyables mais déborde toujours d'ingéniosité pour s'en sortir.
Ingénieuse c'est le qualificatif que j'emploierais aussi pour Sophie Kinsella. Même si le tempérament de son héroïne reste inchangé, la trame des histoires se renouvelle à chaque roman. Il y a juste ce qu'il faut d'originalité, d'imprévu, d'humour. Un parfait dosage pour un roman qui se lit avec beaucoup de plaisir.
Celui-ci n'aura toujours pas le prix Nobel, mais rien de mieux pour se détendre après une journée de travail.
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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 15:56
Genre : petite chose surprenante

En un mot: original

Difficulté de lecture :
lol


L'histoire:
Becky Bloomwood se marie. Il s'agit maintenant de préparer la noce. Becky va devoir affronter sa glaciale belle-mère et résister une fois de plus à toutes les tentations qui vont se jeter, comme par enchantement, sur son passage.

Mon avis:
J'ai été très surprise. Le style est toujours aussi léger et amusant. Mais ce troisième opus s'éloigne des clichés auxquels on aurait pu s'attendre sur le thème du mariage.
Le personnage de Becky, décidément bien attachante, gagne en épaisseur.  Sophie Kinsella arrive à nous tenir en haleine; le suspens monte en  puissance tout au long du roman.
L'air de rien, la frivolité, l'univers du luxe prennent ici un sacré coup de griffe.
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10 mars 2008 1 10 /03 /mars /2008 13:03
Genre : monument de la littérature

En un mot: noir foncé

Difficulté de lecture :
undefined
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L'histoire (par l'éditeur):
Céline nous conte le voyage de Ferdinand Bardamu. Voyage qui commence au début la grande guerre et se poursuit dans l'inhumanité de cette première moitié de 20ème siècle.

"A force d'être poussé, comme ça dans la nuit, on doit finir tout de même par aboutir quelque part, que je me disais."


Mon avis :
Une oeuvre magistrale, éblouissante. Qui a choqué en son temps par le cru de ses propos. C'est qu'il en faut de l'audace et des mots forts pour dénoncer l'hypocrisie du patriotisme, entre autres.

"- Oh ! Vous êtes tout à fait lâche, Ferdinand ! Vous êtes répugnant comme un rat...
- Oui, tout à fait lâche, Lola, je refuse la guerre et tout ce qu'il y a dedans... Je ne la déplore pas, moi...  je ne me résigne pas moi... Je ne pleurniche pas dessus moi... Je la refuse tout net, avec tous les hommes qu'elle contient, je ne veux rien avoir à faire avec eux, avec elle. Seraient-ils neuf cent quatre-vingt-quinze millions et moi tout seul, c'est eux qui ont tort, Lola, et c'set moi qui ai raison, parce que je suis le seul à savoir ce que je veux : je ne veux pas mourir."

"Quand on n'a pas d'imagination, mourir c'est peu de choses. Quand on en a, mourir c'est trop."

Mais...

Une oeuvre d'une lucidité tellement triste. Contrairement à N. Huston qui reste, malgré tout, optimiste, Céline nous enfonce la tête sous une chappe de déprime. C'est superbe mais affreusement déprimant. Mon quotidien me suffit largement pour prendre conscience de la noirceur du monde. Je n'attends pas d'un roman qu'il appuie encopre plus là où ça fait mal mais plutôt qu'il m'aide à avancer.

Mais...

C'est comme un repas gastronomique trop copieux. C'est divin le foie gras mais s'en coltiner 1 kg d'une traite c'est un peu écoeurant. Le signe c'est quand je commence à compter les pages. Cela veut dire que je frise l'indigestion et c'est domage, ça gâche tout.
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8 mars 2008 6 08 /03 /mars /2008 12:24
Genre : Thriller

En un mot: alibi

Difficulté de lecture :
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L'histoire (par l'éditeur):
New Hampshire. Hiver 2007. 24 corps sont découverts dans le sable enneigé d'un chantier d'autoroute. 24 cadavres. Tués d'une balle en plein cœur, sans aucune trace de lutte. Sacrifice de secte ? Suicide assisté ? Gigantesque règlement de comptes? Plus incroyable encore : personne ne les réclame. Pas un mari inquiet, pas une mère affolée, pas un collègue de bureau ne prend contact avec la police. Le même soir, Frank Franklin, 29 ans, jeune professeur de littérature, arrive pour son nouveau poste dans une université qui jouxte le chantier des 24. Très vite, quelque chose l'inquiète sur le campus. Bientôt, il va comprendre qu'il a été entraîné dans un terrifiant jeu de dupes...

L'avis de Cillbq:
L'auteur nous promène durant ce livre, l'histoire est rudement bien menée.
On se rend compte à quel point l'auteur nous a baladé, surtout dans les derniers chapitre, l'un des personnage principal du livre déclare "le meilleur alibi que vous pouvez avoir, c'est d'être mort au moment où le crime est commis", l'auteur nous montre qu'il est possible de "tuer, alors qu'on est mort"...

L'avis de Céline:
Je viens de le terminer (21/03/08). Il m'a effectivement tenue en haleine sur la deuxième moitié. Il est vraiment bien ficelé mais la fin m'a un peu déçue. Je m'y attendais un peu.
Et il a oublié de refermer une porte : le dernier drame à l'université, comment a-t-il fait pour se forger un alibi?


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4 mars 2008 2 04 /03 /mars /2008 13:53
Genre : petite chose acidulée

En un mot: oups.

Difficulté de lecture :
lol


L'histoire:
La suite des aventures de Becky Blomwood, l'accro du shopping. Persuadée s'être assagie et être devenue raisonnable Becky suit son petit ami à Manhattan. Mais qui pourrait résister à la 5ème avenue, à une merveilleuse robe Vera Wang? Certainement pas elle. Mais attention, cette fois-ci ses insouciances pourraient la perdre.

Mon avis:
Oui, j'ai aimé. Je l'ai lu quasiment d'une traite (facile à lire..) . C'est amusant, léger et ça fait du bien. On retrouve complètement l'esprit de Bridget Jones (que j'avais adoré). L'humour est présent à chaque page et même si la fin est un peu convenue, elle fait bien plaisir, tellement on s'y attache à cette Betty Blomwood.
Je doute que ce roman ait le prix Nobel mais il a tout àa fit sa place dans ma bibliothèque  (même si je dois le rendre à ma belle-soeur).
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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 21:18
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Genre
: troman philosophicoromantique

En un mot: le sens de la vie.

Difficulté de lecture :
undefined facile à lire mais à comprendre...


L'histoire (d'après l'éditeur):
Georg, un adolescent de quinze ans vit avec sa mère et son beau-père. Il mène une vie très ordinaire jusqu'au jour où on lui remet une lettre de son père, décédé alors qu'il n'avait que quatre ans. Hormis quelques photos dans un album et deux ou trois films vidéo, Georg n'a pas de souvenir de son père. Dans cette lettre d'adieux, son père lui raconte son amour pour la mystérieuse Belle aux oranges et l'interroge sur le sens de la vie. La Belle aux oranges est un hymne à la vie, à l'amour et au courage qu'il faut parfois pour emprunter les sentiers les plus difficiles de l'existence.

Mon avis:
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce roman. Je n'accrochais pas avec l'histoire, les personnages. Même la rencontre avec la "belle aux oranges" m'a laissée sur ma faim. Mais tout doucement Jostein Gaarder a avancé ses pions pour nous emmener là où il voulait : un instant d'émotion incroyable.
Dans ce roman il pose LA question, celle que je me pose depuis des années. Il n'y répond évidemment pas mais ... je vous laisse le plaisir de le découvrir par vous même.

PS : c'est l'auteur du célébrissime "monde de Sophie".
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13 février 2008 3 13 /02 /février /2008 14:08
Genre : thriller psychologique.

En un mot:

Difficulté de lecture :


L'histoire:
Antoine, directeur d'une entreprise de prêt-à-porter, se fait assassiner. Très rapidement on soupçonne que l'assassin est un de ses collaborateurs. Cécile, première à découvrir le cadavre son patron se trouve involontairement mêlée de près à l'enquête.

Mon avis:
L'auteure est une copine ... Le suspens est efficace : j'avais du mal à lâcher le livre. Et pourtant elle n'a pas cédé à cette mode qui veut que les romans soient le plus sanglants et abjectes possibles. Les personnages sont intéressants. J'ai particulièrement aimé l'intervention d'une "bonne fée" à la fin.
Honnêtement un livre agréable à lire.
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8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 08:44
Genre : thriller ésotérique.

En un mot: artificiel

Difficulté de lecture :
undefined (je me suis un peu emmêlée les pinceaux entre les différents pseudos de chacun...)

L'histoire:
Paul Tomm, jeune journaliste, essaye de découvrir la vérité au sujet de la mort d'un de ses anciens profs. PLus il avance, plus idécouvre que cet homme, apparemment bien banal, avait une face cachée.

Mon avis:
Ce roman mêle l'enquête en elle-même et une sorte de chronique sur la quête d'objets aux obscurs pouvoirs.  L'ensemble est pas mal mais j'ai eu beaucoup de mal à me sentir concernée par cette histoire.  C'est assez décousu. On a l'impression que  l'auteur a volontairement tout mélangé pour faire artificiellement complexe.  Et les légendes étant complètement imaginaires (il faut au moins lui reconnaître le mérite de ne pas avoir fait semblant de nous révéler des vérités secrètes ) j'ai eu du mal à accrocher.
Néanmoins ça se lit bien et c'est plaisant.
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24 janvier 2008 4 24 /01 /janvier /2008 10:07
Genre : chronique  paysanne

En un mot: beau, tout simplement beau

Difficulté de lecture :
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L'histoire:
Un soir Amédée, un de ces hommes qui vit de la terre, qui vit en louant ses bras de ferme en ferme, rencontre Albin. Albin lui ouvre son coeur, décharge sa peine, le secret qu'il porte.

Mon avis:
Il est difficile de rentrer dans ce livre. Les phrases sont rocailleuses, comme la terre que Giono aime tant. Elles ont du mal à sortir, comme le secret qu'Albin a coincé dans sa gorge.
Puis elles coulent avec beaucoup plus d'aisance, de fluidité au fur et à mesure que l'histoire avance, que l'intrigue se dénoue.
Ce que j'aime chez Giono? Son style inimitable. Avec lui les mots chantent, crient, pleurent.Il sait leur donner une autre dimension, un autre sens.
J'aime ses personnages, tellement beaux, tellement fiers. J'aime cet amour pudique, ces passions discrètes, cette émotion qu'on enfouit et qui surgit brutalement, comme la nature de ce beau pays.
On parle beaucoup de l'Asie, du raffinement de sa culture., de la simplicité Mais en grattant bien,  on a aussi de bien belles choses chez nous, sous des abords plus frustes. Il suffit de savoir regarder ce qu'il y a derrière l'apparence.

"J'étais au bout de la ficelle d'amitié amarrée dans nos deux coeurs ; encore un pas et elle cassait.
Et j'ai fait ce pas en arrière, et je suis parti.

Voilà."

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23 janvier 2008 3 23 /01 /janvier /2008 14:22
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Genre : romantico fantastique pour adolescentes

En un mot : fascinant (of course..)

Difficulté de lecture :



L'histoire:

Bella, seize ans, décide de quitter l'Arizona ensoleillé où elle vivait avec sa mère, délurée et amoureuse, pour s'installer chez son père, affectueux mais solitaire.
Elle croit renoncer à tout ce qu'elle aime, certaine qu'elle ne s'habituera jamais ni à la pluie ni à Forks où l'anonymat est interdit. Mais elle rencontre Edward, lycéen de son âge, d'une beauté inquiétante. Quels mystères et quels dangers cache cet être insaisissable, aux humeurs si changeantes ? A la fois attirant et hors d'atteinte, au regard tantôt noir et terrifiant comme l'Enfer, tantôt doré et chaud comme le miel, Edward Cullen n'est pas humain.
Il est plus que ça. Bella en est certaine.


Mon avis:

C'est ma fille qui me l'a conseillé. Pour être honnête je l'ai lu en moins de 2 jours tellement il est prenant, bien écrit, original. Le supens est très bien dosé, sans être oppressant. Les révélations ont distillées à la bonne dose. C'est fantastique tout restant logique et rationnel.
On entre très facilement dans ce roman ... bon allez j'avoue, c'est pas un chef-d'oeuvre mais je l'ai lu avec grand plaisir...

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Je Suis...

  • : Les lectures d'heureuse
  • : "Lire est le seul moyen de vivre plusieurs fois" Pierre Dumayet
  • Contact

Cher égaré du net,


Je ne sais quel hasard vous a amené vers ces pages mais je préfère être honnête avec vous. Vous ne trouverez ici:

                                  - Ni analyse littéraire aussi intelligente que complexe,

                - ni étude approfondie de chaque ouvrage.


 

Qu'ai-je donc à vous proposer?     


Partager mes coups de coeur coeur-73.gif, mes coups de gueule, mes "bof...".


 Echanger sur ces mêmes coups de coeur, coups de gueule, coups de "bof...", parce que, tous ces livres, qu'on les ait aimés ou pas ont été écrits par un auteur qui a mis son coeur et méritent, pour la plupart qu'on les fasse vivre le plus possible.

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           Essayer de retranscrire ce petit instant inimitable qu'on vit quand on lit le dernier mot de la dernière phrase de la dernière page d'un livre.


Cet instant de tristesse, de vide incommensurable  à l'idée de quitter un univers qu'on avait plaisir à retrouver jour après jourhp7.gif. Cette déception terrible quand on se retrouve face à une chute bien plate9782221113073.gif ou au contraire cette explosion d'émotions qu'un immense talent nous procure en quelques mots 9782253115540 .

Ou le soulagement que le pensum arrive enfin à son terme9782266164573.

 

 

 

Ce blog est ma mémoire, ma petite bibliothèque intérieure.

 


 

Je vous en prie, choisissez un livre et asseyez-vous pour le feuilleter tranquillement.


fauteuil2.jpg

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